Artiste Peintre Professionnel
N° 017/310
Validité : 01/2026
-
Retour à la liste des peintres- €
Afficher la cotation aux pointsVous êtes Sylvia KARLE-MARQUET ? Cliquez ici pour vous identifier.
Estimation de la valeur d'un 15F (valeur médiane des formats) | 2 740 € |
---|---|
Début de la certification | 01/01/2017 |
Anniversaire de la certification | 01/01/2026 |
Numéro professionnel | - |
Numéro MDA | . |
Toutes les photos des œuvres présentées ici sont la propriété exclusive de l’artiste.
Toute reproduction complète ou partielle est strictement interdite.
Nombre de vues du profil 21320
Style dominant
Technique principale
Site internet
Naissance
Sylvia KARLE-MARQUET est Née en 1948 à Lude (Sarthe) ; elle est diplômée de l’école des Beaux Arts à Angers en 1969, et obtient la même année le prix André MALRAUX.
Après une période abstraite naissent en 1993 « les Animalitudes » qu’elle n’a plus quittées depuis.
Sylvia KARLE MARQUET s’inspire d’œuvres du XVeme et XVIIeme, puis elle en modifie la construction. A l’exemple des fables de La Fontaine, elle utilise l’animal pour mettre en évidence les petits et grands travers du genre humain. Ses toiles sont de merveilleuses satyres, pleines d’humour, de fantaisies, de couleurs et de précision.
« Prenez un Zeste d’Esope, un peu de la Fontaine et de la Bruyère, un rien d’Alphonse Karr, une touche de Daumier, ajoutez le regard et les pinceaux de Sylvia KARLE-MARQUET, lâchez le tout devant les maitres du XVème au XVIIIème, elles vous les retournent avec humour critique de notre société pour en faire son « animalitude » ».
Sylvia Karle-Marquet a choisi, elle, de bousculer nos inconvenances en les habillant. Les humains en sortent visés dans leur bêtise, leur orgueil, leur couardise, leur arrivisme, leur avarice…
Armée d’une forte culture et d’une technique éprouvée, Sylvia revisite les grands maîtres, Caravage, Dürer, Greuze, Van Dyck, Cranach… Ils l’inspirent pour mieux falsifier.
Si pour Sylvia, sa quête vers l’autre s’aventure dans le symbolisme, l’univers de Karle-Marquet nous révèle notre monde ? Celui d’hier ? Celui que nous nions ? C’est notre abêti monde contemporain.
Tout bêtement !